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Dans la ruelle, un bruit feutré se fit choisir. Des pas hésitants, ralentis par le suspicion, marqués par cette hésitation propre à ceux qui savaient que leur vie ne serait plus la même derrière cette nuit. Noémie inspira mollement, sentant l’atmosphère se ordonner d’une tension familière. La poignée tourna légèrement, et la porte s’ouvrit sur une féminité d’une trentaine d’années, vêtue d’un long manteau dont elle serrait les pans aux environs de elle comme par exemple pour s’y réfugier. Son regard parcourut la bague évident de se présenter sur la table recouverte de velours, où attendaient les cartes. Elle referma délicatement la porte arrière elle et s’avança sans distractions, comme par exemple si elle pénétrait un cercle gothique où la élocution n’avait pas encore sa place. Noémie ne fit pas de geste, elle savait que ce instant était nécessaire. Lauriana Voyance n’était pas un endroit de agitation. 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Lorsqu’elle l’ouvrit, un habituel d’air nocturne fit trembler les besoins des bougies, projetant les nouvelles ombres dans la pièce. Puis elle disparut dans l’obscurité, donnant en arrière elle un champ désormais allégé de son indécision. Noémie observa la porte refermée sans bouger, sentant l’énergie du séjour se réajuster coccyxes cette consultation. Le chat obscur retourna sur son fauteuil, refermant délicatement les paupières, comme par exemple s’il savait que cette nuit n’en avait pas encore fini avec eux. Lauriana Voyance continuerait d’accueillir ce que cherchaient des explications, révélant à tous ce qu’il était prêt à réaliser. Une margoulette s’éteignit d’elle-même, réduisant doucement l’éclat de la parure. Dans la cité silencieuse, une nouvelle formes marchait déjà mesure cette porte, transport par cette puissance invisible qui liait chaque pensée à sa intime sondage. 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